Un jour Mao a dit: Heureux l'homme qui rêve les yeux ouverts car il risque un jour de voir son rêve se réaliser. Depuis la période de la Sainte Enfance où un grand nombre de petits québécois achetaient des petits chinois nous rêvions de voir ce qui se passait dans ce pays du soleil levant. Aujourd'hui ce rêve se réalise.
mercredi 4 mai 2011
SHANGHAI
Lorsqu’on arrive à Shanghai, on est loin de se douter que ses origines ont été des plus modestes. À l’origine c’était un petit port de mer et un village de tisserands. Elle acquiert un prestige économique au 18 et 19 ième siècles de notre ère. C’est dans les années 1920 et 1930 que son émergence économique rayonna le plus. Elle se tailla une place importante au niveau des arts ce qui la rendit exotique pour le monde. Son ouverture, de gré ou de force, aux étrangers, les britanniques les américains, les français, les russes et les japonais favorisa grandement son développement.
Avec l’arrivée du communisme et la création de la République Populaire de Chine, elle fût muselée sur le plan économique, puisqu’on trouvait que sa population était trop bourgeoise et dépravée. C’est en 1992 que Den Xiaoping décida d’en faire un centre économique mondial et contribua à façonner cette ville telle qu’on la connaît aujourd’hui et qui rivalise avec les grands centres financiers comme New-York, Londres et autres. Avec ses 18 millions d’habitants elle est la plus grande ville de la Chine pour sa population vivant en zone urbaine alors que sa population régionale est plus de 30 millions. Une croisière sur son fleuve nous permet de s’émerveiller devant son « skyline » qui nous dévoile sa richesse par la présence de toutes les multinationales de ce monde.
Le vieux quartier de Shanghai nous procure un bain de foule à la chinoise c’est-à-dire, là où la promiscuité est de mise. On ne se sent jamais seul et il ne faut surtout pas être claustrophobe pour y circuler
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